A la mémoire de celui qui a ouvert pour moi les voies de la recherche
A tous ceux qui ont rendu possible et qui ont encouragé cette écriture, aux amis, particulièrement Pierre-Michel Simonin, souvent mis à contribution, à Gérard Barthélémy, dont la bibliothèque m'a été largement ouverte, aux collaborateurs de la Mission Académique de Formation du Personnel de l'Education Nationale de l'Académie de Créteil, dont l'attention pour ce que je pouvais expliquer ne m'a jamais manqué, à mes collègues enseignants, à nos jeunes élèves, qui ont partagé souvent mon plaisir de lecteur
à mes proches, à leur patience
à Michaël Trevor, proche d'Haïti, qui n'aura pu lire ce texte, et dont le père a été misérablement assassiné à Sachsenhausen
aux amis haïtiens...

 

 

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